jeudi 1 août 2013

Un jeu d'équipe!


Des joueurs expérimentés, des athlètes développés ou des dbleurs capables de marquer de n'importe quelles manières, ce n'est pas rare d'en voir de nos jours au DBL Ball. 

Par contre, ce qui est moins évident et ce que je suis fier en tant qu'ancien capitaine et joueur ambassadeur des Burn, c'est de trouver un ensemble de joueurs formant une équipe. 

Nous n'étions pas tous des athlètes à notre première saison dans la ligue, loin de là. Notre objectif était de faire une activité commune dans notre groupe d'amis ce qui a fonctionné. Dès que nous avons trouvé nos joueurs réguliers, nous étions en mesure d'être compétitif face aux équipes et autres joueurs qui avaient des années d'expériences. Lors de notre deuxième saison, nous avons pratiquement gagné toutes les parties. 

Pourquoi donc? Ce n'était pas vraiment l'ajout de nouveaux joueurs plus en forme qui en était la cause. Pas non plus nos camisoles qui nous donnaient un air menaçant. Pas le fait d'être une équipe mixte quand certaines autres n'étaient composées que d'hommes.

La raison était notre jeu d'équipe!

Nous avions du plaisir à jouer ensemble, d'être à l'aise les uns avec les autres. De savoir faire confiance à ses coéquipiers. Chacun avait sa position et par rapport à l'équipe adverse, notre système de jeu s'adaptait. Certains joueurs n'étaient pas souvent sur la feuille de pointage, faisant parti des statistiques impressionnantes, mais ils faisaient un écran mobile lorsque nécessaire, un espace dans le but adverse pour marquer ou un arrêt clef au bon moment! 

L'important dans le DBL Ball et les autres sports collectifs, c'est de jouer en équipe. C'est cinq contre cinq sur le jeu et non pas cinq contre un+un+un+un+un (comme nous avons déjà vu auparavant). 

La cohésion d'équipe, le plaisir de jouer ensemble, les objectifs communs et bien d'autres aspects, forment un jeu d'équipe solide menant à l'accomplissement et la victoire!

Samuel Ouellet



2ieme position des Burn lors du championnat régional sénior de Québec en 2013.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire